De l’importance d’avoir sept ans
10/18
De l’importance d’avoir sept ans
10/18
Le pitch
Rien n'est plus important pour un enfant de six ans que la perspective d'en avoir sept. Bertie, le petit prodige du 44 Scotland Street, est impatient de se libérer des occupations absurdes de son enfance - la psychothérapie, les cours d'italien et de saxophone - pour passer aux choses sérieuses, à savoir jouer au rugby, aller camper...
C'est sans compter sur sa mère, la redoutable Irene, qui compte bien poursuivre le programme éducatif de son fils. Tandis que Matthew se débat dans les affres de la paternité, Angus et Domenica s'embarquent pour le voyage de leur vie en Italie.
Mais les chefs-d'oeuvre ne sont pas sans danger et le syndrome de Stendhal, endémique à Florence, s'apprête à faire une nouvelle victime...
Mon avis
Ceci est le 6e tome des Chroniques d'Édimbourg. Ah bon ? Et comment l'acheteur potentiel de ce roman est-il censé l'apprendre ? Réponse : c'est impossible, puisque ce n'est mentionné nulle part !
Alors je pousse un coup de gueule (et ils sont rarissimes) : je me suis fait entuber, il n'y a pas d'autre mot, par l'éditeur qui, à aucun moment ne signale que ce livre fait partie d'une suite largement entamée et qu'il est incompréhensible pour quelqu'un qui n'a pas lu les cinq tomes précédents !
Aucune mention sur la couverture, la tranche du livre, la quatrième de couverture (ce n'est pas l'allusif "Smith nous libre une nouvelle tranche de vie d'Édimbourg" qui permet de le comprendre), rien non plus à l'intérieur : il faut lire la préface de l'auteur pour l'apprendre !
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