Les plus belles bibliothèques du monde
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Posséder une belle bibliothèque chez soi, c’est merveilleux et c’est un rêve réalisable.
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Posséder une belle bibliothèque chez soi, c’est merveilleux et c’est un rêve réalisable.
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Un lecteur compulsif (c’est moi !) lit en moyenne, environ deux livres et une paire de BD chaque semaine, tout au long de l’année. Soit, parvenu fin décembre, une centaine de livres et une centaine de BD ingurgités.
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J’ai la chance de posséder l’édition originale de Rien n’est simple (un album paru en 1962), car mes parents étaient des fans absolus de Jean-Jacques Sempé.
Ils m’ont transmis cette admiration et, avec mes enfants qui l’adorent également, c’est une troisième génération qui continue à parler avec respect de Monsieur Sempé, l’homme qui a élevé le dessin d’humour en France au niveau de l’œuvre d’art.
Une fois ceci dit, j’ai une question, professeur : au delà du chef-d’œuvre des aventures du Petit Nicolas, conçu avec humour et amour avec René Goscinny,
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Parfois, la vie de lecteur compulsif vous amène à affronter des situations imprévisibles.
Un de ces moments étranges consiste à vous retrouver face à un livre dont le titre vous blesse la rétine et le processus cognitif.
Quoi de plus smart qu’une bibliothèque qui bouge ?!
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La boite à livres : voilà une des plus belles innovations de ces dernières années !
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Parfois, on tombe en arrêt devant un livre, ébloui par la beauté ou l’originalité de sa couverture.
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Pour les amateurs de littérature, l’auteur(e) d’un grand roman est un mystère fascinant.
Cette fascination génère un fantasme courant chez les grands lecteurs : pouvoir se transformer en petite souris pour découvrir l’intimité de l’auteur(e) favori.
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Un conte(finement) de Noël
Une nouvelle de Christophe Gresland
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Si la lecture représente une des activités essentielles de votre existence, vous vous êtes certainement prêté un jour ou l’autre à ce jeu étrange et subtil qui consiste à répondre à la question suivante : et si vous deviez partir demain sur une île déserte, pour un long, très long séjour, quels livres emporteriez-vous dans vos bagages ?
Question qu’on peut aussi formuler plus simplement ainsi : quels sont les livres que vous placeriez dans une bibliothèque idéale ? Ou, autre variante : quelle serait la liste des livres que vous offririez à votre meilleur(e) ami(e) ?
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Au Tourne Page, il n’y a qu’une seule chose qu’on aime autant que les livres : ce sont les lecteurs !.
Les jeunes lecteurs, les vieux lecteurs, les lecteurs débutants, occasionnels, aguerris, les naïfs, les cyniques.
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Vivre confiné, c’est se retrouver face à soi même.
Certains en sont ravis, d’autres vivent l’expérience comme un traumatisme, surtout quand cette expérience s’allonge, s’étire, n’en finit pas.
Débarrassé (privé ?) de tout ce qui fait le sel (et le poivre) de la vie quotidienne, les déplacements, les sorties culturelles, le cinéma, les dîners entre amis, la famille, les voyages, et même parfois le travail, que nous reste-t-il ? Une vie intérieure, pour ceux qui en ont une ?
Comme me le répétait encore il y a peu mon ami Wikipédia, le mot invariable incipit est la substantivation – apparue en 1840 – de la troisième personne du présent de l’indicatif du verbe latin incipere qui signifie « prendre en main, commencer ».
Ah ! La fin est proche ! La vérité est au bout du tunnel (comme la fin de la crise) !
Lors des épisodes précédents, nous avons pu étudier et démonter avec une stupéfiante vista que les quatre excuses les plus courantes pour ne pas lire étaient juste… pitoyables.
Pour ceux qui n’auraient pas suivi les débats, je les invite à admirer dès maintenant comment ont été pourfendus les mensonges suivants :
Nous avançons vers la vérité !
Lors des épisodes précédents, nous avons démontré avec un brio certain (merci ! merci !) que les trois excuses les plus courantes pour ne pas lire étaient juste… ridicules.
Fake news, comme dirait celui qui cherche à vous trumper.
Pour ceux qui n’auraient pas suivi les débats, je les invite à admirer dès maintenant comment ont été pourfendus les mensonges suivants :
Voilà ! Lors des épisodes précédents, nous avons démontré avec un savoir-faire indéniable (merci ! merci !) que les deux excuses les plus courantes pour ne pas lire étaient totalement bidons.
Pour ceux qui n’auraient pas suivi les débats, je les invite à admirer comment ont été pourfendus avec Brio (c’est le nom de notre sabre d’attaque) les mensonges suivants :
Bien ! Après avoir démonté avec brio (si, si !) la première excuse pour ne pas lire, à savoir que la lecture, c’est trop cher (voir ici pour ceux qui ont raté la premier épisode), nous poursuivons aujourd’hui l’étude des excuses les plus bidons pour éviter de plonger son nez dans un bouquin.
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Au Tourne Page, il n’y a qu’une seule chose qu’on aime peut-être plus que les livres : ce sont les lecteurs !
Les jeunes lecteurs, les vieux lecteurs, les lecteurs débutants, occasionnels, aguerris, les naïfs, les cyniques.
Un constat : plus de la moitié de nos compatriotes lisent des livres.
Bravo ! Splendide ! C’est énorme, c’est formidable ! et c’est…inespéré !
Car pourtant, si l’on devait croire les oiseaux de mauvaise augure, « les français détestent lire » ou, version soft, « les français ne lisent plus ». Le problème viendrait de la petite enfance, une histoire d’éducation, les parents ne s’en occupent pas, gnagnagna…
Le lecteur est un animal qui pense et qui réfléchit.
Je sais, ce n’est peut-être pas très raisonnable, mais que voulez-vous, à force de lire des pages et des pages, il arrive que l’esprit se mette en branle et avance, tout seul.
Le lecteur est un auteur en puissance ; il l’est même parfois, souvent, pour de vrai.
L’amateur de livres, l’amoureux des textes, aspire toujours – consciemment ou non – à plonger à son tour dans l’ivresse de l’écriture.
Penser, écrire… vient un moment où le lecteur pense et écrit sur la lecture et l’écriture (si,