[Idées lecture] Les plus grands romans d’amour
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L’amour, depuis le Roméo et Juliette de Shakespeare, c’est tout de même un des thèmes fondateurs de la littérature, non ?
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L’amour, depuis le Roméo et Juliette de Shakespeare, c’est tout de même un des thèmes fondateurs de la littérature, non ?
Les dragons n’ont pas existé. Quoique. Certains seraient sans doute prêt à en débattre pendant des heures !
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Parfois, il m’est arrivé de m’emporter un peu sur ce site en évoquant le manque de densité et de qualité de la littérature française contemporaine. Non que je trouve le niveau des romans publiés insuffisant, car il est toujours facile (trop facile) de dire que « c’était mieux avant ».
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L’art de l’écriture de la nouvelle est d’un des plus difficiles à maîtriser. Car, contrairement à ce que l’on pourrait penser, ce n’est pas parce qu’un texte est court qu’il est plus aisé à imaginer et à écrire, tant il suppose – lorsqu’il est bon ! – de subtilité et de précision dans sa rédaction.
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Pendant près d’un siècle, les auteurs, les scénaristes et les réalisateurs ont œuvré de concert pour adapter les grands romans au cinéma. L’exemple le plus marquant, celui qui a marqué tout autant l’histoire de la littérature que celui du cinéma ? Autant en emport le vent, bien sûr ! Un chef-d’œuvre de livre, qui est devenu un chef-d’œuvre de film.
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Un bon polar avec une énigme à résoudre, ou un thriller pour se retourner le cerveau et vous court-circuiter l’influx nerveux, qu’y-a-il de meilleur pour se sortir de l’enfer de l’ordinaire ?
Nous avons tous dans un coin de notre mémoire des lectures nocturnes mémorables, accrochés que nous étions par les yeux à un foutu paquet de feuilles qui vous empêchait de les fermer (les yeux !).
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De temps en temps, – tiens, pendant les vacances, par exemple ! -on n’a pas envie de lire sérieux. Plutôt envie d’oublier le quotidien, les tracas du boulot, les transports en commun ou les embouteillages, les virus et les problèmes économiques.
D’éviter aussi les romans sérieux, l’autofiction à la française (regardez mon nombril comme il est beau !), les essais socio, les thèses écolo, les thrillers sanglants.
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On est fou (on nait fou ?) de cinéma, ou pas. « Cinéphile un jour, cinéphile toujours », énonçait le sage (c’est moi) dans un de ses fameux proverbes qui ne veulent rien dire…
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Un des plus grands plaisirs du livre est de se plonger longuement, très longuement, dans la lecture du premier tome d’une saga BD, en sachant que, une fois refermé, il y en a un deuxième, puis un troisième, et parfois beaucoup plus encore…
Bien entendu, il faut que le premier, puis le deuxième contact soient convaincants et donnent envie de lire la suite. Il faut tomber sur un Tourne Page, quoi !
Il y a une paire de siècles, une femme qui lisait était considérée par certains comme étrange ou dangereuse. Si, si, je vous assure !
Heureusement, aujourd’hui, on peut constater tous les jours que le livre est devenu un des meilleurs vecteurs de libération de la femme.
Les guerres – et plus particulièrement les deux guerres mondiales – ont, de tout temps, inspiré les auteurs. Normal : ces périodes terribles rassemblent en condensé tous les sentiments, toutes les qualités et les défauts de l’être humain.
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La littérature de science-fiction (SF) est née le jour où est apparu et s’est généralisé le progrès scientifique. Car à partir du moment où la science permettait de découvrir, de créer, de comprendre, cela signifiait que le monde allait changer dans le futur : la SF, c’est la littérature de l’avenir.
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Depuis que les européens – les hommes blancs – ont débarqué sur le continent américain, le racisme et la ségrégation ont existé aux Etats-Unis. Terribles, injustes, meurtriers.
Ce racisme envers les minorités indiennes, dans un premier temps, puis envers les minorités noires, n’a cessé de fragmenter l’unité de la nation américaine et d’opposer les habitants du pays.
Et vous le savez aussi bien que moi – black lives matter – les choses ne se sont pas vraiment arrangées avec le temps, malgré la guerre de sécession, puis le vote des lois abolitionnistes et égalitaires tout au long du XX° siècle…
Nous vivons une époque formidable : la BD n’a jamais eu autant de succès que depuis le début du XXI° siècle, et la quantité d’albums qui sort chaque année n’arrête pas d’augmenter, de même que les ventes.
N’empêche que… pour les amateurs, passionnés de BD, on n’a jamais sorti autant de chefs-d’œuvre qu’entre les années 1940 et 1970 !
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Qui n’a pas rêvé, frissonné, pleuré, un jour ou l’autre, en visionnant un grand classique du cinéma ou en dévorant un roman consacré à l’épopée du far west ?
La mythologie romantique existant autour de l’aventure de la nouvelle frontière est telle qu’elle n’a cessé de faire rêver et d’inspirer tous les créateurs d’histoires. Au fil du temps, c’est tout un pan de la littérature américaine consacrée à cette période fascinante de l’histoire qui s’est développée.
On a même vu depuis le début du nouveau siècle un genre spécifique, le nature writing,
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Quand on aime lire, quand on passe son temps le nez dans les livres, on est parfois – souvent – aussi fan de cinéma. Et lorsqu’on a adoré un roman, quoi de plus magique que de retrouver un univers son univers sur grand écran, transposé en sons et images ?
La littérature américaine est immense. Immense en talents, sans aucun doute, mais aussi immense géographiquement.
La surface des Etats-Unis est égale à celle de l’Europe, rien que ça…
Lire pour se détendre : oui , mais quoi ? Les vacances d’été restent la meilleure période de l’année pour lire. Beau temps, absence de stress, plage, sieste : toutes les conditions sont réunies pour oublier votre quotidien, les transports, le boulot, les courses, et entamer enfin la pile de romans à lire qui s’est allongée tout au long de l’année.
Alors pourquoi ne pas plonger (attention c’est une expression : les livres sont solubles dans l’eau de mer !) sur un livre détendant, distrayant ? Un livre destiné à vous amuser, à étirer la commissure de vos lèvres vers les oreilles,
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Chaque année, au moment de partir en vacances, la plupart des lecteurs se retrouvent face au plus terrible des dilemmes : quels livres placer dans leur valise pour ces quelques jours (semaines) privilégiées, loin du stress quotidien. Terrible dilemme, n’est-ce pas, avec à la clé ces questions existentielles : quels livres ? Combien de livres ?