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L’esprit de l’été souffle sur le marché du livre et lui permet – enfin ! – de retrouver un brin d’optimisme.

L’événement du moment c’est de retrouver, en compagnie des best sellers habituels (Joël Dicker, Guillaume Musso, Virginie Grimaldi) quelques ouvrages composés par des auteurs non professionnels.

Après plus de deux mois sous la loi impitoyable du covid 19, le marché du livre souffle enfin !

Trois semaines après le déconfinement et la réouverture des librairies, le chiffre d’affaires a retrouvé, puis dépassé ses normes habituelles de saison.

Un retour à la normal dû à la réouverture physique du marché, mais aussi à la sortie simultanée d’une bonne partie des blockbusters de l’année.

Déjà deux mois sous la loi impitoyable du covid 19.

Alors que le déconfinement est entamé et que les librairies ont pu rouvrir, le marché du livre est toujours dans le marasme le plus total

La période s’est révélée être une catastrophe totale pour tous les acteurs du marché : auteurs, éditeurs, libraires.

Déjà un mois depuis le début du confinement, et le marché du livre est toujours au plus bas.

Pourtant, théoriquement, la période devrait nous donner plus de temps pour lire !

Cependant, la période est depuis le début une catastrophe pour les éditeurs et les auteurs : librairies fermées, salon du livre de Paris et autres manifestations littéraires annulées, lancement des nouveautés avortées.

Et soudain… ce fut la pandémie.

Le Covid-19 s’est installé dans nos vies début mars, et nous avons modifié notre façon de vivre…

Pour le pire, mais aussi pour le meilleur puisque – théoriquement – le confinement nous a donné plus de temps pour lire !

Et pourtant, la période est une catastrophe pour les éditeurs et les auteurs : librairies fermées, salon du livre de Paris et autres manifestations littéraires annulées, lancement des nouveautés avortées.

Résultat : le marché s’est littéralement effondré. Quelques chiffres ?

Baisse du chiffre d’affaires de l’édition dès la première semaine du confinement : –

Après un mois de janvier qui a vu le triomphe des abonnés « de qualité » aux meilleures ventes de romans (Pierre Lemaitre, Frédéric Beigbeder, Sylvain Tesson), février a été… terrifiant !

Marc Levy, Michel Bussi, Maxime Chattam, Laurent Gounelle, sans compter Dragon ball Z… dîtes docteur, comment éviter ces cauchemars récurrents !

On sait que quantité ne rime pas souvent avec qualité, mais il faut bien constater que l’édition française vit en partie grâce à une vingtaine d’auteurs qui ne font pas forcement honneur à la littérature française.

Le mois de janvier a vu le grand triomphe des abonnés aux meilleures ventes de romans : Pierre Lemaitre, Laurent Gounelle, Frédéric Beigbeder, Sylvain Tesson.

Mais on trouve également dans le peloton de tête une série d’essais, témoignages personnels ou enquête sur le pouvoir.

Distraction et information : deux des mamelles de l’édition !

Et les gagnants du grand concours annuel de Noël sont… les favoris !

Les ventes ont été d’une stabilité exceptionnelle au fil des semaines, et on retrouve aux treize premières places du classement de la dernière semaine de l’année… neuf des dix meilleures ventes du tout début du mois, le quatuor de tête n’ayant pas bougé d’un pouce !

Une nouvelle fois, ce sont les best sellers grand public qui moissonnent… Astérix, Goncourt, Renaudot, Interallié, Blake & Mortimer, Le chat… !